This article will examine McCormick's moral epistemology both at the level of how human persons know values and disvalues, which hereinafter will be referred to as synderesis, and at the level of how human persons know the rightness and wrongness of an action, which hereinafter will be referred to as normative moral judgment. On the one hand, from this investigation it appears that McCormick operates with a dual moral epistemology, at least at the level of synderesis. This means that at (...) one point in time it appears that a significant shift may have occurred in his moral epistemology at the level of synderesis. This may also be true at the level of normative moral judgment. On the other hand, McCormick's moral epistemology may in fact be a synthesis, which is the product of development and maturity in his thought process. This article will articulate, examine, and analyse both moral epistemologies. The first moral epistemology is operative in McCormick's writing up until 1983. The second moral epistemology corresponds to McCormick's decision in 1983 to write primarily in the area of bioethics from a theological perspective. Since the year 1983 seems to be the pivotal time when these two moral epistemologies converge, I will refer to the first moral epistemology as “prior to 1983” and I will refer to the second moral epistemology as “after 1983.” Because of the numerous criticisms that surround McCormick's moral epistemology, and the ambiguity that it entails, McCormick needed to articulate his theoretical foundations clearly and develop them systematically and coherently. Numerous moral theologians called for him to do this, yet he never responded. A systematic understanding of McCormick's moral epistemology is not only necessary but crucial in examining various issues in bioethics. It is necessary because it is the basis of moral decision making. It is crucial because the life and death of individuals may hang in the balance. (shrink)

L'article lit la pensée de Mausbach et Nell-Breuning de façon constructive de façon à explorer la base théologique d'une éthique sociale productive. La transcendance divine est continuellement engagée dans l'histoire des hommes; par ailleurs, le développement et l'engagement des hommes dans l'histoire glorifient Dieu. Le discernement des valeurs et la doctrine de la loi naturelle rendent possible l'oeuvre de la justice. Une perspective trinitaire sur le discernement favorise l'initiative, l'engagement dans le monde, et la découverte. Les réalisations du commonweal introduisent (...) la ressemblance divine dans la société. Au milieu des conflits, la volonté manifeste un engagement souple, dirigé eschatologiquement. L'amour spécifie la justice sociale et libère; il établit ainsi un cadre civique. La révérence vis-à-vis de l'altérité divine fonde la tolérance active qui est l'expression obligée de l'amour en vue de la collaboration qui est nécessaire aujourd'hui. Cette éthique sociale fondée sur des catégories théologiques contribue à la mission chrétienne dans des sociétés complexes et turbulentes. (shrink)

Donald Gelpi, SJ saw his life's work as an attempt to construct an integral systematic theology during a time when such projects were deemed passé and undesirable. Such attitudes did not deter him though, and he worked quietly in his office at the Jesuit School of Theology in Berkeley for several decades developing such a system and teaching it in his classes and lectures. During those years, he produced works on theological method, sacramental theology, the Trinity, and Christology.Grounding his systematic (...) theology was a theological method defined by his fellow North American Jesuit, Bernard Lonergan. In his seminal work, Method in Theology, Lonergan articulated eight "functional specialties" for... (shrink)

C'est ce second volet qui est ici, pour la première fois, présentée dans son intégralité. F. Louzeau analyse les trois dialectiques fondamentales qui articulent les figures concrètes de la liberté dans la société et l'histoire : la dialectique du maître et de l'esclave, qui éclaire la faille du marxisme, définit les éléments du « social » et discerne les contradictions internes des mythes totalitaires son interférence avec la dialectique de l'homme et de la femme, d'où sont issues les trois relations (...) de paternité-maternité-fraternité, qui fondent la structure de toute société humaine et la dialectique paulinienne du païen et du juif, source et principe d'exacte interprétation des deux précédentes. Pages de début Remerciements Préface Introduction Première partie. De la dialectique maître-esclave Chapitre I. Un outil nécessaire et efficace pour comprendre la société et l'histoire Chapitre II. Qu'est-ce qu'une « conception du monde »? Chapitre III. L'origine commune du Communisme et du Nazisme Chapitre IV. La faille existentielle du marxisme Chapitre V. Qu'est-ce que le « social »? Chapitre VI. Contradictions internes du Communisme et du Nazisme Chapitre VII. Acquis et insuffisances de la dialectique du maître et de l'esclave Deuxième partie. De la dialectique homme-femme et de son interférence avec la précédente Chapitre VIII. Comment dépasser la dialectique du maître et de l'esclave? Chapitre IX. Épure de la dialectique de l'homme et de la femme Chapitre X. Objections Chapitre XI. Interférence et dialectique des relations familiales Chapitre XII. Paternité, Maternité, Fraternité Chapitre XIII. De la famille au peuple, du peuple à la Nation Chapitre XIV. Acquis et limites des dialectiques conjugale et familiale Troisième partie. Du bon usage des dialectiques maître-esclave et homme-femme à la lumière du rapport païen-juif Chapitre XV. Société et histoire Chapitre XVI. Fraternité universelle Chapitre XVII. Paradoxe et Mystère du peuple juif Chapitre XVIII. La dialectique du païen et du juif, source et mesure des dialectiques maître-esclave et homme-femme Chapitre XIX. Ontologie historique et dialectique Chapitre XX. Souplesse et exigence d'une perspective systématique Chapitre XXI. De son trésor tirer de l'ancien et du neuf Conclusion Annexe 1. Abréviation des principaux livres, articles et manuscrits de G. Fessard Annexe 2. Bibliographie de Gaston Fessard Annexe 3. Livres, articles et recensions concernant Gaston Fessard Annexe 4. Autres livres et articles Annexe 5. M. Sales, « Gaston Fessard. Un philosophe chrétien engagé dans l'histoire de son temps », in Hegel, le Christianisme et l'Histoire, Paris, puf, 1990, p. 17-21 Annexe 6. Index des noms propres de L'Anthropologie sociale du P. Gaston Fessard Gaston Fessard, Collaboration et Résistance au Pouvoir du Prince-Esclave Genèse et portée du manuscrit Avertissement « Argument » Avant-propos Chapitre I. Défaite Chapitre II. Révolution Chapitre III. Défaite et Révolution Chapitre IV. Devant la « Collaboration » Chapitre V. La politique de la nation vaincue Chapitre VI. Application des principes au concret Conclusion. De la direction de conscience dans la situation actuelle I. Quelques textes de Mein Kampf II. Le cardinal Mercier et les droits du pouvoir occupant III. Jeanne d'Arc et notre temps IV. Pourquoi la France est-elle entrée en guerre en 1939? V. Pourquoi le directeur de conscience doit protester contre mensonge et injustice VI. Les devoirs chrétiens du temps présent Index des noms propres de Collaboration et Résistance au Pouvoir du Prince-Esclave Pages de fin. (shrink)

C'est ce second volet qui est ici, pour la première fois, présentée dans son intégralité. F. Louzeau analyse les trois dialectiques fondamentales qui articulent les figures concrètes de la liberté dans la société et l'histoire : la dialectique du maître et de l'esclave, qui éclaire la faille du marxisme, définit les éléments du « social » et discerne les contradictions internes des mythes totalitaires son interférence avec la dialectique de l'homme et de la femme, d'où sont issues les trois relations (...) de paternité-maternité-fraternité, qui fondent la structure de toute société humaine et la dialectique paulinienne du païen et du juif, source et principe d'exacte interprétation des deux précédentes. Pages de début Remerciements Préface Introduction Première partie. De la dialectique maître-esclave Chapitre I. Un outil nécessaire et efficace pour comprendre la société et l'histoire Chapitre II. Qu'est-ce qu'une « conception du monde »? Chapitre III. L'origine commune du Communisme et du Nazisme Chapitre IV. La faille existentielle du marxisme Chapitre V. Qu'est-ce que le « social »? Chapitre VI. Contradictions internes du Communisme et du Nazisme Chapitre VII. Acquis et insuffisances de la dialectique du maître et de l'esclave Deuxième partie. De la dialectique homme-femme et de son interférence avec la précédente Chapitre VIII. Comment dépasser la dialectique du maître et de l'esclave? Chapitre IX. Épure de la dialectique de l'homme et de la femme Chapitre X. Objections Chapitre XI. Interférence et dialectique des relations familiales Chapitre XII. Paternité, Maternité, Fraternité Chapitre XIII. De la famille au peuple, du peuple à la Nation Chapitre XIV. Acquis et limites des dialectiques conjugale et familiale Troisième partie. Du bon usage des dialectiques maître-esclave et homme-femme à la lumière du rapport païen-juif Chapitre XV. Société et histoire Chapitre XVI. Fraternité universelle Chapitre XVII. Paradoxe et Mystère du peuple juif Chapitre XVIII. La dialectique du païen et du juif, source et mesure des dialectiques maître-esclave et homme-femme Chapitre XIX. Ontologie historique et dialectique Chapitre XX. Souplesse et exigence d'une perspective systématique Chapitre XXI. De son trésor tirer de l'ancien et du neuf Conclusion Annexe 1. Abréviation des principaux livres, articles et manuscrits de G. Fessard Annexe 2. Bibliographie de Gaston Fessard Annexe 3. Livres, articles et recensions concernant Gaston Fessard Annexe 4. Autres livres et articles Annexe 5. M. Sales, « Gaston Fessard. Un philosophe chrétien engagé dans l'histoire de son temps », in Hegel, le Christianisme et l'Histoire, Paris, puf, 1990, p. 17-21 Annexe 6. Index des noms propres de L'Anthropologie sociale du P. Gaston Fessard Gaston Fessard, Collaboration et Résistance au Pouvoir du Prince-Esclave Genèse et portée du manuscrit Avertissement « Argument » Avant-propos Chapitre I. Défaite Chapitre II. Révolution Chapitre III. Défaite et Révolution Chapitre IV. Devant la « Collaboration » Chapitre V. La politique de la nation vaincue Chapitre VI. Application des principes au concret Conclusion. De la direction de conscience dans la situation actuelle I. Quelques textes de Mein Kampf II. Le cardinal Mercier et les droits du pouvoir occupant III. Jeanne d'Arc et notre temps IV. Pourquoi la France est-elle entrée en guerre en 1939? V. Pourquoi le directeur de conscience doit protester contre mensonge et injustice VI. Les devoirs chrétiens du temps présent Index des noms propres de Collaboration et Résistance au Pouvoir du Prince-Esclave Pages de fin. (shrink)

Le P. Stanislas Szadurski s'est acquis par ses ecrits un renom de forte intelligence et de tete de file de la pensee des philosophes jesuites du XVIIIe siecle en Pologne. On s'interesse de plus en plus a sa personne et a ses conceptions que l’on veut prouver sur documents et connaitre plus largement sa place dans l’histoire do la pensee philosophique. D'ou notre ouvrage sur Szadurski, ouvrage qui est la premiere monographie a partir de sources biographiques et doctrinales inconnues jusqu'ä (...) maintenant du public. Notre texte comprend : 1) quelques donnees bibliographiques, 2) une breve biographie de Szadurski, 3) la presentation de ses conceptions philosophiques principales, divisees en logique, metaphysique, physique, une courte synthese do tout son enseignement. (shrink)

Le P. Stanislas Szadurski s'est acquis par ses ecrits un renom de forte intelligence et de tete de file de la pensee des philosophes jesuites du XVIIIe siecle en Pologne. On s'interesse de plus en plus a sa personne et a ses conceptions que l’on veut prouver sur documents et connaitre plus largement sa place dans l’histoire do la pensee philosophique. D'ou notre ouvrage sur Szadurski, ouvrage qui est la premiere monographie a partir de sources biographiques et doctrinales inconnues jusqu'ä (...) maintenant du public. Notre texte comprend : 1) quelques donnees bibliographiques, 2) une breve biographie de Szadurski, 3) la presentation de ses conceptions philosophiques principales, divisees en logique, metaphysique, physique, une courte synthese do tout son enseignement. (shrink)

Le P. Stanislas Szadurski s'est acquis par ses ecrits un renom de forte intelligence et de tete de file de la pensee des philosophes jesuites du XVIIIe siecle en Pologne. On s'interesse de plus en plus a sa personne et a ses conceptions que l’on veut prouver sur documents et connaitre plus largement sa place dans l’histoire do la pensee philosophique. D'ou notre ouvrage sur Szadurski, ouvrage qui est la premiere monographie a partir de sources biographiques et doctrinales inconnues jusqu'ä (...) maintenant du public. Notre texte comprend : 1) quelques donnees bibliographiques, 2) une breve biographie de Szadurski, 3) la presentation de ses conceptions philosophiques principales, divisees en logique, metaphysique, physique, une courte synthese do tout son enseignement. (shrink)

With his clear and accessible prose, impeccable scholarship, and balanced Judgment, Roland Teske, SJ, has been an influential and important voice in Medieval philosophy for more than thirty years. This volume, in his honour, brings together more than a dozen essays on central metaphysical and theological themes in Augustine and other medieval thinkers. The authors, listed below, are noted scholars who draw upon Teskes work, reflect on it, go beyond it, and at times even disagree with it, but always in (...) a spirit of respectful co-operation, and always with the aim of getting at the truth. Essays on Augustine contributed by Gerald Bonner, Charles Brittain, Joseph Koterski, SJ, Joseph T. Lienhard, SJ, David Vincent Meconi, SJ, Ann A. Pang-White, Frederick Van Fleteren, Dorothea Weber, and James Wetzel. Essays on Bernard of Clairvaux, William of Auvergne, and other medieval themes contributed by John P. Doyle, William Harmless, SJ, John A. Laumakis, Edward P. Mahoney, and Philipp W. Rosemann. (shrink)

In lieu of an abstract, here is a brief excerpt of the content:Reviewed by:New Perspectives on Advaita Vedānta: Essays in Commemoration of Professor Richard De Smet, SJGodabarisha MishraNew Perspectives on Advaita Vedā nta: Essays in Commemoration of Professor Richard De Smet, SJ. Edited by Bradley J. Malkovsky. Leiden: Brill, 2000. Pp. x + 187.New Perspectives on Advaita Vedānta: Essays in Commemoration of Professor Richard De Smet, SJ., intended as a tribute to Professor Richard De Smet (1916-1997) on his eightieth birthday, (...) turned out to be a posthumous memorial volume due to his sad demise. It comprises eight essays apart from an Introduction by the editor, Bradley J. Malkovsky, who provides an overview of De Smet's life and works. Select scholars of international eminence who are acquainted with the intellectual acumen of De Smet have contributed to this volume, thereby honoring and perpetuating the memory of this Jesuit priest-professor, who significantly contributed to the understanding and interpretation of the Advaita Vedānta of Śaṅkara. The introductory essay offers a detailed picture of the scholarly pursuits of De Smet, whose philosophical journey spanned six decades. He spent much of his life seriously exploring avenues for translating intercultural philosophical dialogue into reality. This essay throws much light on the lesser-known areas of De Smet's life—religious, political, and philosophical as well as academic.Though born in Belgium, De Smet preferred to live in India, and he was one of the very few Christian priests who strove to discover the unity in Hindu and Christian [End Page 610] spirituality, through and beyond the theology of both religions. In his early years he studied Thomas Aquinas, Augustine, and Bonaventure, and this helped him to understand the philosophy of Śaṅkara at a deeper level. He felt that Śaṅkara's Advaita is a theology based on revelation rather than pure philosophy upheld through personal experience or independent reason. In pursuing his interest in interreligious dialogue, De Smet worked actively toward dispelling the notion that the Church is blindly dogmatic and has no intellectual face worth the name. He traveled much and had intellectual interaction with many celebrated Hindu monks and academicians on theological and philosophical issues. He introduced Upaniṣadic studies in many Christian Ashrams and spoke to Catholic parishes on the rich heritage of Indian spirituality. To establish a genuine space for his approach to doing Indian philosophy he founded the Association of Christian Philosophers of India in 1975 and for a long time served as its chairman. He authored six books and a number of essays, and his ongoing project dealing with the encounter of Vedānta and Christian theology since Roberto de Nobili remains unfulfilled due to his demise.De Smet considered the system of Śa71E45;kara to be the most profound metaphysical system in Indian philosophy. He was convinced of the similarity between Aquinas and Śaṅkara to the extent of believing that Christian personalism presupposed a nondualist metaphysics. For him, Pure Brahman is more than a vast ocean of pure consciousness; it is also capable of love, causation, and grace—but in such a way that its simplicity, plenitude, and transcendence are not compromised. He felt that even Para Brahman, which may transcend the ordinary human mode of personhood, is not totally impersonal. The supreme reality freely chooses to be a world creator, and so forth, without undergoing any change. Śaṅkara does not deny the existence of the world when he uses negations in describing the world. De Smet feels that Śaṅkara was a radical valuationist who measured everything in relation to the absolute value, the Brahman (p. 16).If personalism, the concept of love, and also to some extent the theory of creation as presented by De Smet are to be very strictly viewed, then there is no alternative but to conclude that he was only engaged in doing some type of theistic Vedānta, like Viśiṣṭādvaita, but not Advaita. De Smet seemed to be stretching Advaita a little too far in trying to see its total affinity with theology and striving to accommodate personalism and so forth through his reading of and commitment to Christianity. Para Brahman in an. Śaṅkara's Advaita is not... (shrink)

ABSTRACTThis contribution investigates the mystical anthropology of two important and related medieval mystics, William of Saint-Thierry and Hadewijch, neither of whom were well known in their own day, but who have come to the fore of scholarly attention in recent years. In the first part, the authors explore the Trinitarian theology of William of Saint-Thierry and the ways in which it provides the foundation for his mystical anthropology. William radically argues that the human soul is structured according to the pattern (...) of the Trinitarian life, and advocates a reciprocal and mutual encounter between the soul and God in which each touch and pass over into one another, becoming one Spirit. In the 13th century, Hadewijch would draw on William’s fundamental insights, integrating them into her own mystical-theological thought. Following her theoretical reflections on the nature of the soul, and unlike her contemporaries in the Schools, Hadewijch maintains that the soul has the natural potential to be united with God without a created intermediary, and that in mystical union, the soul becomes God in love. (shrink)

Different opinions about the simplicity of God may be connected with different understandings of how abstract terms are used to name the properties which are affirmed of a being. If these terms are taken to signify parts of that being, this being is not a simple one. Thomas Aquinas, who attributes essence, existence and perfections to God, nevertheless thinks that these are not different parts of God. When essence, existence and perfections are attributed to God, they all denominate the same, (...) the Being of the first cause. For Aquinas, this is a consequence of his way of introducing the language about God by basing it upon the philosophical ways leading to God as first cause. Awareness of this connection between Divine attributes and the arguments for God’s existence is crucial for an adequate understanding of Aquinas’ position. (shrink)

This article considers the theme of discernment in the tradition of Ignatian spirituality emanating from the Spiritual Exercises of St Ignatius of Loyola, the founder of the Society of Jesus. After a brief introduction which addresses the central problematic of bad influences that manifest themselves as good, the article turns to the life and work of two Jesuits, the 16th C English missionary to India, Thomas Stephens and the 20th C French historian and cultural critic, Michel de Certeau. Both kept (...) up a constant dialogue with local culture in which they sought authenticity in their response to ‘events’, whether a hideous massacre which shaped the pastoral commitment and writing of Stephens in the south of the Portuguese enclave of Goa or the 1968 student-led protests in Paris that so much affected the thinking of de Certeau. Very different in terms of personal background and contemporary experience, they both share in a tradition of discernment as a virtuous response to what both would understand as the ‘wisdom of the Spirit’ revealed in their personal interactions with ‘the other’. (shrink)